Quel avis sur le John Deere 9620RX ?

La North Farm a été achetée en 1979 par les familles Snell et Thomson. A l’origine la ferme comptait un troupeau laitier avec à côté des productions végétales. Les mauvais prix du lait ont décidé les gérants de l’exploitation à arrêter cette production. L’exploitation a préféré se développer en superficie et même se lancer dans la prestation de service en 2005.

Le premier 9620RX au Royaume-Uni

L’exploitation compte un peu plus de 1100 ha, en 2016 l’exploitation est la première ferme au Royaume-Uni a acheté un John Deere 9620RX. Ce tracteur remplace un Challenger 95 E d’une puissance de 440 chevaux qui totalisait 6000 heures au compteur.

Le choix

Le choix s’est porté sur le John Deere 9620RX pour ses 4 chenilles qui lors des essais sur l’exploitation a complètement surclassé le Challenger 875 E avec qui il était en concurrence lors du renouvellement. Peter Snell, gérant de l’exploitation trouvait également le CASE IH Quadtrac 620 à la hauteur du John Deere 9620RX mais les finitions intérieures du CASE IH ne le satisfaisait pas. John Deere a également fait un effort important sur le prix proposant un John Deere 9620 RX avec une garantie de 5 ans à 270000 £ soit 295000 euros.

Quelles utilisations pour ce John Deere 9620RX ?

Ce John Deere 9620 RX est principalement utilisé avec une charrue Kverneland de 12 corps. Le 9620RX tire la charrue à une vitesse comprise entre 9 et 10 km/h avec un taux de patinage de 1%. La consommation de fuel est comprise entre 50 et 60 litres/ heures.

Les gros points forts de cette machine ?

La cabine qui est clairement plus confortable que la concurrence d’après Peter Snell. En particulier le Command Center qu’il trouve simple d’utilisation et intuitif. Avec ses 4 chenilles le John Deere 9620RX est aussi le meilleur moyen selon Peter Snell de faire passer toute la puissance au sol.

Les gros points faibles de ce tracteur ?

La vitesse de 40 km/h n’est pas possible pour ce tracteur, ce qui est d’après Peter Snell vraiment dommage. L’autre petit point gênant d’après Peter Snell, c’est qu’il n’y a pas de bouton pour gérer le relevage sur les gardes boues arrière, un manque qui se fait sentir lors de l’attelage de la charrue. 

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