La société Exel voit son chiffre d’affaires du 1er semestre 2010-2011 croître de 6%

Le secteur "Protection des Végétaux" représente 69% du CA consolidé du groupe Exel

Sur le 1er semestre 2010-2011 (septembre à février), le chiffre d’affaires de la Protection des Végétaux s’inscrit à 121,3 millions d’euros, soit - 1,9 % par rapport l’année précédente. Après un premier trimestre en recul de – 15%, le deuxième trimestre 2010-2011 (décembre à février) marque une progression de + 9,2 % par rapport au second trimestre 2009-2010.

Ce retournement provient d’entrées de commandes en hausse de 42 % par rapport au premier semestre l’an passé.

De nouveaux produits, dont des gammes spécifiques aux marchés export, ont été présentés ces derniers mois. Certaines innovations ont été primées au dernier Salon International du Machinisme Agricole (SIMA), en particulier le système ILS (Intelligent Localized Spray) qui a reçu une médaille d’argent. Ce système permet de détecter la végétation par reconnaissance infrarouge et de cibler les traitements sur les seules mauvaises herbes.

Le secteur "Protection des matériaux", c'est 31% du CA consolidé du groupe Exel Industries

Sur le 1er semestre 2010-2011 (septembre à février), le chiffre d’affaires dans la Protection des Matériaux est en progrès de +29 %, à 54,6 Millions d’euros. Après un bon premier trimestre, la tendance se confirme sur le deuxième, avec un chiffre d’affaires en hausse de + 36 % par rapport au deuxième trimestre précédent, pour s’établir à 28,8 Millions d’euros.

Cette amélioration provient autant des ventes en Amérique du Nord que des pays émergents, deuxième moteur de croissance.

Perspectives et Stratégie selon Patrick Ballu, Pdg d'Exel Industries

Pour Patrick Ballu, PDG d’EXEL Industries, «après un premier trimestre parmi les plus difficiles en termes d’activité, nous avons enregistré un deuxième trimestre de croissance, aussi bien sur la Protection des Végétaux que des Matériaux ; l’ensemble du semestre est donc en léger progrès. Cependant la rentabilité du premier semestre devrait rester sous pression. Le rythme d’entrées de commandes sur les 6 premiers mois permet d’anticiper un deuxième semestre supérieur à celui de l’exercice précédent, bien que le cours de l’euro n’évolue pas dans un sens très favorable. Par ailleurs, la livraison de toutes les commandes sur le deuxième semestre sera un challenge pour nos équipes de production, qui devront accélérer leur fabrication malgré des tensions temporaires chez nos fournisseurs. »

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