Cette expérimentation, "menée dans la plus grande transparence, était destinée à recueillir des données scientifiques précises" sur le virus du court-noué qui touche les vignobles du monde entier, rend les terres infectées impropres à la viticulture, soulignent les deux ministères.
Le virus responsable est transmis au vignoble de cep à cep par des nématodes (vers du sol).
L'Inra testait 70 pieds de vigne génétiquement modifiés pour augmenter leur résistance à cette maladie, qui ont été saccagés dans la nuit du 14 au 15 août par des faucheurs venus de toute la France.
"Ces recherches ne représentaient aucun risque sanitaire ou environnemental", assurent les deux ministères, rappelant que "des conditions strictes avaient été prévues pour prévenir tout risque de dissémination" des transgènes.
Les porte-greffes génétiquement modifiés ne produisaient pas de fleurs et les inflorescences du greffon (non génétiquement modifié) étaient éliminées avant floraison. En outre, précisent-ils, "une bâche installée dans le sol empêchait les vers porteurs du virus d'évoluer hors de la parcelle expérimentale".
Le dispositif de contrôle périodique obligatoire des pulvérisateurs est effectif depuis le 1er janv (...)
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