"Comme le camarade qui a le plus travaillé (contre cet accord) est mon grand ami Nicolas Sarkozy, j'ai la responsabilité de tenter de convaincre Sarkozy, d'attendrir le coeur des Français pour obtenir un accord Mercosur-UE avant la fin de mon mandat présidentiel", a-t-il dit aux côtés du président de l'UE Herman von Rompuy et du chef de la Commission européenne, José Manuel Barroso.
De son côté, M. Barroso a assuré que "l'engagement de l'Union européenne envers un accord ne fait aucun doute", mais, a-t-il averti, cela devra être "un compromis équilibré" qui offre des "avantages" aux deux parties.
Les 27 pays de l'UE et le Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay, plus le Venezuela en cours d'adhésion) ont rouvert en mai des négociations pour un accord de libre-échange sur la table depuis six ans. Dix Etats
européens, emmenés par la France, avaient alors exprimé leur inquiétude pour leur agriculture.
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