Jouffray Drillaud lance les plantes compagnes sur colza

Pionnier des plantes compagnes depuis plus de 15 ans, avec les premiers ray-grass sous maïs, Jouffray-Drillaud continue sur sa lancée en proposant aujourd’hui « Plante-Compagne® JD ». Il s’agit d’associations de plantes qui, semées simultanément à la culture principale, contribuent à son bon comportement agronomique et à l’amélioration de ses résultats technico-économiques.

« Plante-Compagne® JD » pour la culture du colza  est le premier produit issu de la recherche Jouffray-Drillaud à être proposé. Il s’agit d’un mélange à base de variétés sélectionnées spécifiquement pour cet usage, qui associe Nacre (vesce commune), Bingo (vesce pourpre) et Tabor (trèfle d’Alexandrie).

Des variétés bien spécifiques pour le mélange « Plante-Compagne JD »

Pour Philippe Gratadou, directeur semences chez JD, « bien au-delà d’une approche « espèce », c’est une véritable réflexion basée sur une sélection variétale unique qu’il s’agit de développer, pour que l’implantation de plantes compagnes soit bénéfique à la culture. Un cahier des charges précis doit être défini : aptitude à la couverture de sol sans concurrencer la culture, sensibilité au gel et minéralisation rapide pour une excellente restitution au colza en sortie d’hiver. Chez JD, Nacre, Bingo et Tabor ont été sélectionnées, suite à des années d’expérimentation et d’essais en micro-parcelles, puis en plein champs, pour leur aptitude à remplir ces objectifs».

Pour JD, l’intérêt d’associer le colza à un couvert à base de légumineuses ne fait plus de doute à condition toutefois de choisir soigneusement les variétés.

30 à 40 unités d’azote disponibles grâce à « Plante-Compagne JD colza »

Le mélange « Plantes-Compagnes® JD colza » favoriserait une meilleure nutrition du colza, en restituant, en sortie d’hiver grâce à son équilibre C/N, entre 30 à 40 unités d’azote. Par ailleurs, les « Plante-Compagne® JD colza » amélioreraient, de par leur système racinaire, la structure du sol pour un enracinement et une croissance du pivot optimisé. Les observations mettraient en évidence une réduction de la pression ‘insectes ravageurs’, en particulier concernant les altises, les tenthrèdes et les charançons du bourgeon terminal.

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