L’anti-oïdium de Certis, le « Nissodium », peut désormais être appliqué sur toutes céréales à paille (y compris l’orge de brasserie et les graminées porte-graine), puisqu’il vient d’obtenir une extension d’emploi sur avoine, seule espèce qui manquait à son étiquette. Soulignons également la toute récente inscription à l’Annexe 1 de sa matière active, le cyflufenamid, au cours du second semestre 2012. Le soutien de sa molécule à l’Europe montre l’importance stratégique que Nissodium présente pour la firme de l’agrochimie Certis. En effet, la firme compte développer ses usages sur d’autres cultures, tant les résultats en termes d’efficacité lui semblent porteurs. Nissodium s’applique à 0,25 litre/ha. Il est proposé en bidon de 1 litre.
Compatibilité unique du fongicide Nissodium avec tous les fongicides en 1er traitement
Nissodium peut être associé à tous les fongicides céréales appliqués en 1er traitement sans exception. Nissodium développe une compatibilité physique avec ces fongicides en assurant un mélange homogène. Aucune phytotoxicité du mélange n’a pu être observée au champ.
Nissodium, l’anti-oïdium strict de référence en Europe
Sur la campagne dernière, les ventes de Nissodium ont représenté près de 25% du marché des anti-oïdium en France. Parce qu’il apporte une solution éprouvée aux problématiques du Nord de l’Europe pour lutter contre ce champignon, Certis compte sur un fort développement de sa spécialité sur la prochaine campagne. L’agrochimiste prévoit de peser d’ici la fin du printemps 2013 la moitié du marché sur l’hexagone, à l’image du succès remporté par le produit en Allemagne ou en Angleterre, où le produit, lancé en 2006, soit trois ans avant la France, totalise aujourd’hui respectivement 40% et 50% du marché.
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