Jouffray-Drillaud met en place 4 pôles dans toute la France pour asseoir son expertise sur les adjuvants

Jouffray-Drillaud a mis en place, pour la première fois cette année un réseau de quatre pôles « expertise adjuvants » répartis sur l’hexagone. Il s’agit d’une initiative originale qui révèle la volonté de JD d’asseoir encore un peu plus ses positions sur ce segment de marché. En effet, si ce type de dispositif est couramment mis en place pour évaluer les spécialités phytosanitaires, il s’agit d’une première pour les adjuvants.

Pour Denis David, directeur marketing de Jouffray-Drillaud, « outre le fait d’acquérir notre autonomie en termes de références techniques, cette initiative est surtout un moyen de partager concrètement aux champs nos connaissances en matière d’adjuvants avec nos clients et les prescripteurs ».

Le principe des pôles est de dispenser concrètement des conseils et références techniques locales actualisées sur chacun de ces sites. Responsables des services agronomiques des distributeurs, techniciens de la distribution, responsables locaux de firmes, conseillers techniques de chambre d’agriculture et conseillers privés… l’ensemble de la cible prescription a été conviée aux sessions de formation voulues particulièrement vivantes, mêlant présentation de cette nouvelle démarche d’expertise, visite de parcelles et quizz interactif.

Sur chacun des sites, Jouffray-Drillaud propose d’approfondir deux thématiques en tronc commun,  mais aussi des thématiques propres à la région où le pôle est implanté. Ainsi, les quatre pôles « expertise adjuvants » traitent des techniques de désherbage du blé et du maïs. Mais le Pôle du nord de la France situé à Saint-Quentin (Aisne) abordera spécifiquement le désherbage des betteraves. Quant à celui du Sud Ouest, à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne), on y aborde la problématique de la sélectivité des mélanges trois voies en désherbage maïs. Le Pôle Ouest, implanté à Lusignan (Vienne) et le Pôle de l’Est à Dijon (Côte d’Or) traitent, eux, de sujets autour des programmes fongicides céréales. 

Pour Freddy Pierrard, chef produits « nutrition santé végétale » chez Jouffray-Drillaud, « les actions de 12 adjuvants extemporanés ont été comparées et évaluées, afin de trouver le meilleur accord adjuvant / spécialité phyto.  246 modalités au total, c’est une vraie mine de références ! D’autant que les essais ont été mis en place avec une véritable approche expérimentale, ce qui nous donne des résultats que nous pouvons exploiter d’un point de vue statistique ».

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